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Ciste N 147483, appelée la ciste du café, cachée par lagouille le 23/12/2018
Localisation : France 08 Ardennes, vallées Meuse et Semoy
Description : cylindrique

L'ENIGME :

Préambule :
Cette ciste est a faire sans enfants et par temps sec impératif
Inaccessible aux personnes a mobilité réduite
L’accès assez difficile, très bonnes chaussures (nus pieds et chaussures de ville interdites), port de gants conseillés
Veuillez être très prudents durant l’ascension et la descente

Texte de l’énigme :
Entre légende et réalité , cette promenade vous fait remonter a des temps incertains où la contrebande du tabac , du chocolat , du café et était très florissante entre Ardenne française et Ardenne belge
Victor Droguest célèbre personnage Ardennais surnommé le «roi des contrebandiers» aurait pu être le malheureux de cette légende donc il sera aujourd’hui le personnage principal de notre aventure
Né dans un petit village où, à la fin du siècle dernier, se pratiquait une contrebande ancestrale et artisanale. Victor vivait dans une cabane sur les hauteurs de Braux
Chef de bande ou fraudeur individuel, il se fit, pendant la première guerre , passeur d'hommes et quelque peu agent de renseignements.
C'est dire que, poursuivi sans cesse par les douaniers et les gendarmes de trois pays, le hors-la-loi passa la majeur partie de ses jours dans la forêt, s'y cachant dans une hutte de bûcheron ou dans une grotte, se nourrissant des produits de sa chasse et de sa cueillette d'herbes et de fruits sauvages
Connaissant donc la foret des Ardennes comme sa poche , un jour devenu chef d’une bande de passeuse , non par machisme , mais les bonnets de ces dames étant très pratique …………a devenir le receleur de choses que l’on veut cacher , il partait depuis sa cabane pour escapade en Belgique avec son équipe
Il traversa d’abord la Meuse et continua son chemin tout en fumant la pipe et en évitant les vautours
Sur une ile de la Semoy il rejoignit sa petite troupe au mais il n’était point encore au bout de leur périple
Le plus dur restait a faire
Ils suivirent pendant quelques kms la voie de chemin de fer vers le nord
Puis l’une d’elle s’écriât vache l’eau est bien froide pour faire un café, encore un effort et nous pourrons boire un ptit lait
Victor en chef décida que pour motiver les troupes il fallait leur donner de l’espérance
La plus jolie des porteuses avait liris clair, ce qui lui donnait un certain charme, voir même un charme certain
La plus ancienne, une vieille renarde, se prénommait Berthe, elle portait des bas
Un peu plus haut, pratiquement a la frontière Victor rassembla l’équipe et leur donna consigne, de se faire discret
Mais trop tard, les gabelous étaient en poste, et repérèrent notre bande de contrebandiers
Sauve qui peut !!!, la troupe s’éparpilla dans la foret proche
Victor le plus grand , fut facilement repéré , il qui de plus est déjà très connu des services de douane fut pris en chasse par ces derniers
Prenant ses jambes a son cou , et pour faire diversion afin de protéger ses camarades s’enfuyant en traversant les champs de lin , doublant le cerisier
Pourchassé par les gabelous et parvenu au rebord rocheux sans possibilité de s’échapper, il préféra sauter pour essayer de gagner l’autre rive du st jean plutôt que d’être pris
Comme la paroi est haute d’au moins 25 ml , VICTOR ne se releva jamais
Pour que l’on se souvienne de l’histoire du contrebandier qui préféra la mort a la capture, Victor a laissé dans une faille de la roche à droite de sa signature , un paquet de café tombé de son sac