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Ciste N 142342, appelée Lettre d'un poilu (16), cachée par papatouriste le 02/04/2018
Localisation : France 07 Ardèche, Capitale sud Ardèche
Description : 2 X 5

L'ENIGME :

Mes chers parents,

J'espère que cette lettre vous trouveras en bonne santé. Je vous écris de la Capitale, je sais que dans ma dernière lettre j'avais promis de vous rendre visite lors d'une prochaine permission, mais lorsque je vous aurais expliqué, vous saurez me pardonner de n'être venu vous voir.
Voilà plusieurs mois déjà, l'état major a décidé de faire faire du sport à nos soldats, il a fait distribuer des ballons et nous voilà tous jouant au foot. Cela occupe les soldats pendant les moment de repos. Certains messieurs de l'état major pensent que c'est bon pour nos soldats, cela entretien le corps et l'esprit et pendant qu'ils jouent ils ne réfléchissent pas et ne pensent pas à se révolter. Et voilà, mes hommes ont été envoyé à la capitale pour jouer contre d'autres soldats. Vous comprendrez mes chers parents que je ne pouvais pas partir en permission et laisser mes hommes, eux qui ne sont pas rentrer dans leurs foyers pour embrasser leur famille depuis fort longtemps.
Ce matin, nous sommes allés à la messe, nous attendions sur le parvis parlant du match de foot que nous faire dans l'après-midi, puis les fidèles venant assister à la messe sont arrivés tout endimanchés, nous regardant avec dédain, surpris de voir des soldats voulant assister à la messe plutôt que de se battre dans les tranchées boueuses et s'écartant pour ne pas avoir à nous saluer. Nous nous sommes donc mis un peu à l'écart sur la placette à l'angle du pont, et avons attendu que tout le monde soit dans l'église pour y entrer.
Après la messe, nous avons pris à gauche en direction du lieu où nous devions rencontrer nous camarades pour jouer au foot, juste avant le canal nous nous sommes arrêté à la croix pour dire une prière pour nos camarade tombés au combat. Chacun à écrit un petit mot, que nous avons laisser au pied de la croix.
Cela a dû nous porter bonheur, car nous avons gagné. Cette victoire a fait du bien aux hommes, nous sommes allés boire un verre pour fêter cela.
Je vous embrasse.
Jean-Baptiste