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Ciste N 141430, appelée Drame d’une vision : L’hydre et l’opnus (4/7), cachée par triacon le 30/01/2018
Localisation : France 73 Savoie, Aux alentours de Chambéry
Description : pellicule photo

L'ENIGME :

Continuant leur route, bien qu’un peu inquiets pour la santé mentale de Mémétrochon, qui heureusement n’avait quand même pas vu la vierge, nos amis entamèrent avec précaution une descente forestière. Tout semblait se dérouler à merveille quand, dans le dernier lacet avant d’arriver à un petit pont, Mémétrochon s’écria : « Ah, voici la terrible créature immortelle dont on ne peut trancher la tête sans qu’elle ne repousse doublement ! ». Le groupe aperçut bien la queue de quelque reptile, vipère, couleuvre ou orvet se faufiler dans les buissons, mais rien de plus.

C’est alors que Mémétrochon renchérit « Ouh lala… voilà une autre créature abominable, je crois bien que c’est l’opnus, un opossum dont l’anus venimeux mord ceux qui l’attaque par derrière ! ». En fait Mémétrochon pensait à un opnuus alpina cistus, mais elle n’était pas très versée dans les noms scientifiques… Bref l’écureuil, dont le groupe pensait qu'il était réellement question, s’abrita derechef dans le trou d’un arbre tandis que Mémétrochon le poursuivait (enfin, façon de parler) avec un bâton qu’elle enfonça dans le trou en hurlant : « Regardez, il a marqué sa tanière d’une flèche orange ! ».

Surprise ! Lorsqu’elle retira le bâton du trou, il n’y avait à son bout ni opnus ni écureuil mais plutôt une autre boîte, encore un cadeau de l’un de ses amis. Mémétrochon était toute excitée de cette découverte, alors que toute la troupe commençait sérieusement à s’inquiéter pour elle : fallait-il continuer la promenade, faire demi-tour au plus vite ou même appeler les secours ?

Finalement, voyant que la vieille carapaçonnée ne manifestait plus aucun signe d’égarement, la majorité se rallia à la première solution et la petite troupe passa le pont et entreprit la remontée…

Image indice :


Presence bourdon inconnue
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